Chauffeur VTC : mieux vaut-il acheter ou louer votre véhicule professionnel ?

En tant que chauffeur de VTC, plusieurs options sont envisageables lorsqu’il s’agit de choisir son outil de travail. Le véhicule qui permettra d’exercer ce métier doit être tout à fait conforme aux exigences de sécurité et de confort, recherché par les clients. Le principal intéressé (le chauffeur) doit aussi pouvoir bénéficier d’un confort suffisant car il s’expose à de nombreuses heures (on l’espère, pour ses affaires !) assis à conduire. Tout exploitant de véhicule de transport avec chauffeur a, à un moment donné, questionné le bien fondé d’investir dans un véhicule professionnel en tant que propriétaire, ou plutôt en tant que locataire. les deux possibilités comportent avantages et inconvénients, mais la plus-value d’une location de véhicule VTC, qui plus est sans limite de kilomètres, offre davantage de liberté à celui ou celle qui financièrement dispose d’étroites capacités financières (ou qui n’a pas eu de véritable coup de cœur pour un modèle précis de véhicule).

 

Comment choisir le modèle de véhicule pour une activité de VTC

En sachant qu’un véhicule dédié à une activité de VTC doit pouvoir offrir une capacité de 4 à 9 places, chauffeur compris, le choix d’un modèle peut être assez fastidieux ! Le marché de l’automobile est si vaste, qu’il est important de définir quelques axes de recherches. Plusieurs pistes pour étayer les investigations : une marque automobile de prédilection ? Une affinité spéciale à l’égard d’un carburant ? Plutôt envie d’essayer une voiture électrique ou hybride ? Tenté(e) par un un véhicule aux lignes fuselées et sportives, ou à l’inverse, besoin d’une auto dont l’habitacle est spacieux et fonctionnel ?

Les besoins du chauffeur de VTC ne seront pas les mêmes, selon que celui-ci exerce sa profession à temps complet ou à temps partiel.

 

Louer son véhicule de travail pour une activité de VTC

Que cela concerne un chauffeur novice ou un professionnel chevronné, la location du véhicule professionnel pour une activité de VTC offre de nombreux avantages.

 

Louer un VTC : financièrement avantageux

Nul besoin d’investir une grosse somme financière pour débuter une activité de chauffeur de VTC lorsque l’on opte pour une location. Oui, la location d’un VTC est une occasion très pertinente pour ne pas avoir à débourser plusieurs dizaines de milliers d’euros, simplement pour commencer à travailler. Évidemment, payer un loyer mensuel pour un véhicule relève du même principe que le remboursement d’un emprunt en cas d’achat de voiture. Néanmoins, le montant des mensualités sera bien moindre en cas de location.

 

Pas de dépenses imprévues pendant la location d’un VTC

Tout dépend des conditions stipulées dans le contrat de location du VTC, mais dans la majeure partie des cas, c’est le loueur qui prend en charge les éventuelles réparations du véhicule, de même que les frais liés à l’entretien. Il est d’ailleurs très avantageux de se tourner vers un prestataire qui propose des véhicules dont les contrats de location n’implique pas de limitation dans les kilomètres. Un argument supplémentaire pour s’en tenir à une location de VTC…

 

Zéro tracas en fin de contrat de location de VTC

Le chauffeur de VTC qui loue son outil de travail n’a pas à organiser de revente ou de demande de reprise du véhicule ! Il peut renouveler son contrat, envisager un changement de véhicule tout en continuant de travailler avec le loueur, ou tout simplement changer son fusil d’épaule. Gain de temps et tranquillité d’esprit.

 

Acheter son véhicule de travail pour une activité de VTC

Outre le fait qu’aucun contrat ne lie le chauffeur à un prestataire en location de VTC, il est important de garder en tête qu’un véhicule dont le chauffeur est propriétaire, implique des frais.

 

Entretien et remboursement à prévoir pour un VTC dont le chauffeur est propriétaire

L’entretien, la panne, le contrôle technique annuel, les mensualités pour rembourser un emprunt, tels peuvent être les dépenses auxquelles il est indispensable de songer lorsque l’on achète son véhicule professionnel pour une activité de VTC.

 

Pas de limitation de kilomètres, mais un véhicule qu’il faut pouvoir revendre

L’usure et un nombre élevé de kilomètres au compteur, peuvent avoir une mauvaise incidence sur le prix de revente du véhicule. Sa valeur est dépréciée, et malgré la propreté et le soin constatés sur l’automobile, le propriétaire perd parfois beaucoup d’argent au moment de se séparer de son outil de travail.

 

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